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Changer son nom auprès de l’administration
une lettre manuscrite datée et signée sur laquelle vous demandez un changement de nom pour cause de divorce ; une copie du jugement de divorce ; une copie de votre nouvelle carte d’identité ; votre nouveau RIB avec votre nom de jeune fille.
Par ailleurs, Est-ce possible de changer de nom de famille ?
Tout Français majeur peut demander à changer de nom pour lui-même et ses enfants. … Si les parents sont séparés et en désaccord, le parent qui veut demander la changement de nom doit saisir le juge aux affaires familiales. Si vos enfants mineurs ont plus 13 ans, leur accord écrit est nécessaire.
Et, Comment faire pour reprendre son nom de naissance ?
Bonjour, Le nom inscrit sur votre acte de naissance, qui ne doit pas être celui de votre beau-père, restera votre nom toute votre vie. Par conséquent vous n’avez aucune démarche particulière à réaliser si ce n’est d’apposer ce nom sur votre prochaine demande de carte d’identité.
de plus, Comment changer son nom de famille après un divorce ?
Pour changer de nom, vous devez vous rendre à la préfecture avec votre carte d’identité, votre permis de conduire, votre passeport et de votre jugement de divorce. Bref, à la suite d’un divorce, le changement du nom d’usage est automatique, sauf exception.
Comment reprendre son nom d’épouse ?
Pour continuer à utiliser le nom
Exemple : Si votre nom est Martin, le nom d’usage constitué du nom de votre épouse ou mari (par exemple Dupond) peut figurer sur le titre d’identité d’une des manières suivantes : « Nom : Martin époux(se) Dupond » « Nom : Martin usage Dupond »
Si la demande est gratuite, la publication au JO est payante : il faudra acquitter 110 €, plus les frais de l’annonce au journal local d’annonces légales.
Si cet enfant porte le nom de son père, Dupont, il est possible d’ajouter le nom de sa mère pour former un nom d’usage qui sera Dupont-Martin ou Martin-Dupont. Ce choix peut être fait à tout âge. Le nom d’usage choisi n’est pas définitif. Vous pouvez y renoncer ou en changer en cas de mariage.
S’il refuse, le demandeur peut effectuer un recours gracieux en changement de nom. Ce recours lui permettra de demander au Garde des sceaux de réétudier sa demande de changement de nom patronymique, en y apportant de nouveaux éléments, de nouvelles pièces justificatives et de nouveaux arguments de fond.
Votre seul nom officiel, que vous n’avez pas perdu du fait du mariage, est votre nom de naissance. Vous pouvez donc « reprendre » votre nom de jeune fille à tout moment, y compris pendant le mariage et en dehors de toute procédure de divorce.
Le changement de prénom est gratuit, il suffira de remplir un simple formulaire auquel on y adjoindra les pièces suivantes :
Remplissez une demande de carte de sécurité sociale.
Un individu portant initialement le nom de son père ou celui de sa mère peut demander à changer de nom de famille en faveur de celui de l’autre parent en présence d’un intérêt légitime. Toutefois, lorsque l’enfant est mineur, la demande devra être introduite en principe par les deux parents.
Après votre mariage, vous devez mettre à jour votre carte d’identité et votre passeport. Pour cela, direction la mairie. Pour le permis de conduire (et la carte grise de la voiture, si vous en possédez une), c’est à la préfecture de Police qu’il faut vous rendre pour effectuer les changements.
Les papiers concernant l’administration fiscale, justificatif de votre taxe d’habitation, taxe foncière, vos avis d’imposition … Les documents relatifs à vos droits à la retraite. Les attestations concernant votre mutuelle, la CPAM ou la CAF.
Votre seul nom officiel, que vous n’avez pas perdu du fait du mariage, est votre nom de naissance. Vous pouvez donc « reprendre » votre nom de jeune fille à tout moment, y compris pendant le mariage et en dehors de toute procédure de divorce.
L’usage du nom de jeune fille
Une fois mariée, vous pourrez utiliser dans la vie privée, familiale, sociale ou professionnelle votre nom patronymique (dit de jeune fille), celui de votre mari (dit nom d’usage) ou les deux accolés (votre nom se trouvant en première position).
Après un divorce, peut-on garder le nom de son ex-mari ou de son ex-femme ? À la suite d’un divorce, vous perdez l’usage du nom de votre mari ou de votre femme. Toutefois, vous pouvez en conserver l’usage, soit avec l’accord de votre ex-époux ou ex-épouse, soit avec l’accord du juge.
La rectification administrative s’effectue auprès de la mairie du lieu où a été établi l’acte. Si la suppression du double tiret concerne plusieurs de vos enfants, et que leurs communes de naissance ne sont pas les mêmes, vous devez déposer une demande dans chaque mairie.
Il suffit de s’adresser à la mairie et de remplir un formulaire pour lancer la procédure. Toutefois, la demande de changement de prénom doit être motivée par une raison légitime (religion, changement de sexe, désir de francisation, préjudice lié à l’association nom/prénom …).
Pour changer de prénom, il suffit donc désormais d’aller à la mairie déposer une demande auprès d’un officier d’état civil. Pour les mineurs, ce sont les parents ou le représentant légal qui effectue la démarche, mais si l’enfant a plus de 13 ans il doit donner son consentement.
Le nom de famille porté par une personne correspond le plus souvent à son patronyme, à savoir au nom du père. Mais conformément à la procédure de droit commun, l’intéressé peut en cas de motif légitime solliciter auprès de Ministre de la justice la modification de son nom au profit de celui de sa mère.
Il est possible d’utiliser le nom de son mari ou de sa femme quel que soit son sexe. On parle de nom d’usage. L’utilisation d’un nom d’usage est facultative et n’est pas automatique. Par contre, dès lors que l’époux ou l’épouse indique vouloir utiliser ce nom d’usage, les administrations doivent l’utiliser.
Le changement de nom est mentionné en marge de l’acte de naissance (article 311-23 du Code civil). Lorsque l’enfant a plus de 13 ans, son consentement est nécessaire. En cas de désaccord entre les parents, la procédure de demande conjointe ne pouvant avoir lieu, c’est le juge aux affaires familiales qui tranchera.
L’autorité parentale peut être retirée au parent qui représente un danger pour son enfant ou lorsqu’il se désintéresse de lui. Le retrait peut être total ou partiel et pour l’obtenir, il faut saisir le juge civil, avec l’assistance d’un avocat.
Cette demande s’effectue auprès du tribunal du lieu de résidence du parent contre lequel l’action est exercée. L’assistance d’un avocat est obligatoire. Pendant la procédure, le juge peut prendre des mesures provisoires portant sur l’exercice de l’autorité parentale et ordonner une enquête sociale.
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